15/11/16
Chaque année, le Natural History Museum (NHM) de Londres organise un concours récompensant les plus belles photographies du monde sauvage, c’est le « Wildlife Photographer of the Year ». La 52ème édition s’est clôturée le 19 octobre (la première a eu lieu en 1964) et quelques uns des clichés primés mettent en valeur la faune africaine. Le Grand Prix a récompensé quant à lui Tim Laman, un biologiste, pour une photo d’un ourang-outang escaladant un arbre dans le parc national de Gunung Palung, en Indonésie.
En tout 50.000 photos provenant de professionnels ou d’amateurs de 95 pays ont été reçus par le jury international; 79 ont été primés. Les gagnants de ce concours sont classés dans plusieurs catégories en fonction du sujet photographié (mammifère, reptile, oiseaux, paysage, N et B…).
L’ensemble de ces images est réunie dans un ouvrage intitulé Wildlife Photographer of the Year aux éditions Biotope au prix de 30 euros disponible ICI.
En ce qui concerne la faune africaine, une photographie de l’anglo-australien Paul Hilton sort du lot. Elle a été prise lors de la saisie d’un conteneur qui, sous couvert de transport frigorifique de poissons, renfermait en réalité près de 4.000 cadavres de pangolins. Elle a reçu le prix du photo-journaliste.
Pour information : la 53ème édition est ouverte à tous pour encore une 30ène de jours… bonne chance à vous ! Elle est accessible via le site du musée, le lien est en bas de mon article.
D’autres photographies de l’édition 2016 mettent en avant la faune du continent africain comme celle de ce calao ayant une petite faim prise par Willem Kruger en Afrique du Sud ou celle prise par Simon Stafford d’une hyène aux abords d’un cimetière de gnous dans la réserve de Masai Mara au Kenya . Quelques belles autres photos de la faune sauvage africaine ci-dessous : (mais je vous invite à vous balader sur le site de la compétition…) :
Plus d’info sur le site du musée d’histoire naturel de Londres ICI